Sommes-nous, objectivement, capables de reconnaître nos qualités ou nos défauts, en fonction du regard que peut porter une autre personne envers vous, sachant que tous les êtres sont différents et ne partagent pas les mêmes points de vue sur les personnes ? Il peut être amusant de définir nos qualités comme nos défauts, vous me direz à quoi ça va servir. A réfléchir, tout simplement, sur nous-mêmes.
Personnellement, j’arrive mieux à définir et à exprimer mes défauts que mes qualités ; je ne découvre celles-ci, qu’en fonction de ce que peuvent en percevoir les autres qui me connaissent ou me côtoient, ce qui n’est pas pour autant objectif. J’ai choisi donc de proposer quelques réflexions sur les défauts et comment je les perçois. Bonne lecture.
Beaucoup de gens croient que l’aveu de leurs défauts les dispense de s’en corriger.
C'est toujours ceux qu'on aime qui sont pris pour endurer les malheurs qu'on enferme et les défauts que l'on ne peut plus cacher.
Ce n’est pas parce qu’un défaut se partage par une majorité de gens qu’il en est moins grave.
Ce n'est qu'avec les yeux des autres qu'on peut bien voir ses défauts.
Ce ne sont pas nos défauts qui sont ridicules, mais le soin que nous prenons à les dissimuler et à feindre d'en être épargnés.
Celui qui t’entretient des défauts des autres, entretient sûrement les autres de tes propres défauts.
Certains cherchent à découvrir les défauts des autres comme s'il s'agissait de trésors cachés.
Dès que nous aimons quelqu'un, nous ne voyons plus ses défauts, c'est ce qui explique pourquoi nous ne voyons pas les nôtres.
Elle avait beaucoup de qualités, mais sa caractéristique la plus importante, c'est que je l'adorais, je l'aimais, j'étais fol amoureux d'elle et je ne pensais qu'à elle. Et son principal défaut: ce n'était pas réciproque.
Le grave défaut est d’avoir des défauts et de ne pas s’efforcer de s’en corriger.
Les défauts que l’on haït le plus chez les autres, ce sont principalement les nôtres.
On déteste vraiment ses défauts que lorsqu’on les voit en action chez les autres.