Pour ce 14 février, le jour que beaucoup de chrétiens considèrent comme une fête de l’amour, je tiens à leur rappeler que, l’amour, vos gouvernements, et la majorité des nôtres, l’ont volé du cœur de nos frères et sœurs palestiniens par leur silence et indifférence complices, avant, lors et après l’agression sanglante de Ghaza. En ce jour, des milliers de personnes, dont le seul crime est d’avoir choisi de vivre libres et dignes, souffrent de promiscuité, d’oppression et de carences de toutes sortes, sous le blocus inhumain de l’occupant et du pays voisin, l’Egypte. C’est juste un constat, quand je vois aux infos, en ce moment, les vœux d’amour échangés entre ces mêmes gouvernements, tandis que la situation en Palestine est toujours grave : des bombes et des balles, par-ci, par-là, et une terreur quotidienne meurtrière. Cette fête, en ces circonstances, en ces temps troubles, sans citer ce qui se passe de dramatique dans les quatre coins du monde, de la part des ces big-boss de la politique, est une hypocrisie. Laissez l’amour à ceux qui ont un cœur et des sentiments humains, Mesdames et Messieurs les dirigeants.
En photo, enfants palestiniens qui ne perdent pas le sourire et qui, qu’il pleuve ou qu’il tonne, continuent à voir la vie du bon côté, même si ce n’est que l’espace d’un click d’appareil photo. Où trouver pareil courage et amour de la vie ?...